Un département solidaire, culturel et sportif pendant l’été
Pendant la trêve estivale, le Département poursuit sa mobilisation envers les jeunes de notre Département. Dans le prolongement de tout le travail effectué durant l’année sur le terrain, dans les collèges, en lien avec tous les acteurs de notre territoire, ils pourront ainsi profiter d’une offre dédiée qui vise à leur faire découvrir toutes les possibilités qui s’offrent à eux dans les Hauts-de-Seine.
Proposer aux jeunes des activités pendant cette période de vacances leur permet de s’évader sous toutes les formes. Avec le dispositif Veille Active Jeunes, nous menons tout au long de l’année une politique de prévention dans de nombreux domaines, mais surtout de mobilisation et d’implication de la jeunesse alto-séquanaise dans des projets porteurs de sens, qui lui permettent de s’inscrire à la fois dans une démarche de citoyenneté mais aussi de l’encourager à s’approprier pleinement les dispositifs culturels et sportifs de notre territoire.
Pendant l’été, ce dispositif est plus vivant que jamais.
Grâce au dynamisme de notre Vallée de la Culture, pensée autour d’une ambition forte de démocratisation de toutes les formes de culture, les jeunes vont ainsi pouvoir découvrir les coulisses de Rock en Seine, l’exposition Aqua Mater de Sebastiao Salgado, ou encore des lieux emblématiques comme la Tour aux Figures dans le cadre du dispositif Un brin de culture. Nous travaillons ainsi à inventer de nouvelles formes de sensibilisation, dès le collège, autour de la pédagogie et de projets collectifs construits sur un parcours de plusieurs mois, pour que la culture pour tous ne soit pas un slogan dénué de toute réalité.
Dans la même logique, le sport sera également au rendez-vous, avec le traditionnel Vacan’Sports tant apprécié des familles, mais aussi autour de projets innovants comme la compétition de E-Sport LFL Prixtel Day – League of Legends à La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, à laquelle plus de 120 jeunes seront invités. Point d’orgue et symbole d’une politique globale visant à encourager la pratique du sport chez les jeunes, quarante d’entre eux auront la chance d’être invités sur les Champs-Élysées pour la dernière étape du Tour de France. Nous croyons fermement que la politique sportive doit être basée sur de nombreux leviers d’action, à la fois pour des raisons de santé publique, mais aussi pour transmettre des valeurs collectives et individuelles qui participent à la construction de la citoyenneté de chacun.
Le sport de haut niveau, à travers un partenariat fort avec nos clubs des Hauts-de-Seine qui invitent de nombreux jeunes tout au long de l’année à des événements fédérateurs, est une locomotive pour donner envie aux champions de demain de s’entraîner davantage. En parallèle, faire rêver autour de joueurs évoluant au plus haut niveau, c’est aussi agir dans une logique de démocratisation de la pratique sportive, et encourager chacun à trouver l’activité qui lui convient, selon son niveau et ses envies.
Notre politique en faveur de la jeunesse, c’est également une politique solidaire, qui vise à permettre à ceux qui d’ordinaire ne partent pas en vacances de profiter de séjours dans de nouveaux paysages, ou plus localement de partir en croisière sur la Seine avec leurs parents à la rencontre du patrimoine alto-séquanais, sous une forme originale et ludique.
Solidaire aussi, car nous encourageons l’engagement, à travers le nouveau dispositif « Ôyes », qui permet aux personnes âgées isolées de bénéficier de la visite de jeunes de 16 ans et plus, qui peuvent ainsi facilement trouver un premier job d’été qui ait du sens. Avec ces premières expériences, c’est une véritable opportunité qui est donnée aux jeunes de notre Département, qui viendra à la fois récompenser la valeur travail et la découverte du monde professionnel, mais aussi créer une dynamique concrète de solidarité intergénérationnelle, cette dernière participant pleinement à la cohésion de notre société.
Dans les Hauts-de-Seine, cet été 2022 sera à l’image de notre politique jeunesse : culturel, sportif et solidaire !
Facebook : Groupe-de-la-majorité- départementale-des-Hauts-de-Seine Twitter : @Majorite92
Photo : Julia Brechler
Un an après : rester mobilisé.e.s pour nos concitoyen.ne.s
Il y a un an, nos concitoyen.ne.s nous accordaient leur confiance et nous élisaient conseillères et conseillers départementaux. Au cours de cette année, conformément à nos engagements, nous n’avons cessé de porter les valeurs et principes qui sont les nôtres, au sein de l’assemblée départementale et sur le terrain : défense des solidarités, de l’égalité sociale et territoriale, de l’égalité femmes-hommes, de l’accès aux droits des plus défavorisés, des services publics, de l’environnement et du climat…
Nous sommes intervenus régulièrement pour réclamer le renforcement des services sociaux territoriaux, de l’aide à l’enfance, aux personnes âgées et handicapées, et pour l’amélioration des conditions de travail de leurs agents, dont l’action est fondamentale et pas assez reconnue. Nous sommes intervenus en faveur d’une politique du logement plus solidaire, pour le renforcement du logement social, pour l’accès de tou.te.s à un logement décent et abordable : il y a urgence dans les Hauts-de-Seine, et dans toute l’Ile-de-France, où les besoins sont criants !
Nous nous sommes engagés, aux côtés des équipes pédagogiques, en faveur du renforcement de la dotation des collèges départementaux. Contrairement au Gouvernement, nous pensons que les moyens pour l’éducation de nos jeunes ne sont pas négociables !
Nous nous sommes mobilisés pour soutenir les revendications des salarié.e.s, qu’il s’agisse notamment des agents du secteur médico-social dont les revendications salariales doivent être entendues, mais aussi des travailleurs sans-papiers, pleinement acteurs de notre économie et de notre société, et dont les droits doivent enfin être reconnus.
Nous avons porté haut et fort la question des luttes contre le sexisme et contre les violences faites aux femmes, aux côtés des acteurs et actrices associatives engagées pour cette cause essentielle.
Nous avons rappelé la nécessité d’un engagement plus volontariste de notre Département dans la lutte contre le réchauffement climatique, à tous les niveaux des politiques territoriales. Car c’est aussi au niveau local que se mène ce grand combat global !
Sur ces enjeux et bien d’autres, nous ne lâcherons rien. Nous continuerons à soutenir ces luttes sociales et écologiques, avec vous et pour vous.
Photo : Julia Brechler
Une autre politique face à l’urgence
Les pénuries s’accumulent, l’inflation augmente, les inégalités s’accroissent, la liste des réfugiés s’allonge, la température monte et les espèces s’éteignent massivement. Ces évènements ne sont pas seulement la conséquence de la guerre en Ukraine mais le résultat d’événements climatiques extrêmes de plus en plus fréquents : sécheresses, incendies, inondations, grêle, gel et tempêtes. Les États ont une responsabilité, par leur inaction et leurs priorités. La politique économique mondiale actuelle continue de détruire l’environnement et le social pour un profit éphémère. La liberté, vantée par le libéralisme, est devenue le déguisement d’un individualisme acharné. Nos collectivités sont donc contraintes d’investir, pour réparer ce qui a été abîmé.
Notre département prend en compte de nombreux enjeux du développement durable, en revanche cette lucidité n’a pas encore intégré la notion d’urgence. Urgence climatique. Urgence sociale. Les Hauts-de-Seine se sont engagés avec un objectif de neutralité carbone d’ici 2050. Une échéance trop tardive : le GIEC implore les États de diminuer de 40 % leurs émissions de gaz à effet de serre d’ici trois ans pour éviter l’irréversible.
Plusieurs leviers d’action sont envisageables pour atténuer ces changements et s’adapter.
Subventionner le photovoltaïque français pour les particuliers, et en installer sur les toits des collèges car leur fonctionnement, en journée seulement, est idéal pour le solaire. Expérimenter et généraliser des innovations comme l’hydrolienne biomimétique pour exploiter le potentiel énergétique de la Seine.
Développer une économie circulaire d’échelle, qui ne pourra être effective qu’avec des partenariats entre les entreprises locales conceptualisant des produits entièrement recyclables et les collectivités.
Installer une politique de sobriété coopérative et dimensionnelle, c’est-à-dire faciliter un ensemble de mesures et de pratiques du quotidien (comme les transports publics gratuits pour tous les collégiens) qui évitent la demande en énergie, matériaux, sols et eau tout en garantissant le bien-être de tous dans le respect des limites planétaires. Cette politique permettrait de créer plus de solidarité, de pouvoir d’achat et un environnement plus sain.